Répondre :
Réponse :
Au bout d’une longue route, se dessine une ville,
Des lampadaires longs et droits, plus grands que des immeubles,
Eclairent tels qu’ils en aveuglent,
Puis laissent place à la clarté du jour, quand vient l’aurore.
Les maisons sont de formes rondes telles la silhouette d’une femme,
Les fenêtres sont triangulaires et réfléchissent nos reflets comme des miroirs,
Les toits sont eux aussi triangulaires, laissent apercevoir les cheminées où s’évacue un nuage bleuâtre, qui s’agitent dans le ciel,
Les routes sinueuses s’entremêlent autour des maisons,
De couleurs vives, elles semblent ne jamais s’arrêter,
Tout est éveillé, et semble figer à la fois,
Puis le monde s’en va chez eux quand vient la nuit !
Explications :
j'espère que cela pourra t'aider, je me suis inspirée du poème le silence dans une église ci-dessous :
Au levant de la nef, penchant son humide urne,
La nuit laisse tomber l'ombre triste du soir ;
Chasse insensiblement l'humble clarté diurne ;
Et la voûte s'endort sur le pilier tout noir ;
Le silence entre seul sous l'arceau taciturne,
L'ogive aux vitraux bruns ne se laisse plus voir ;
L'autel froid se revêt de sa robe nocturne ;
L'orgue s'éteint ; tout dort dans le sacré dortoir !
Dans le silence, un pas résonne sur la dalle ;
Tout s'éveille, et le son élargit sa spirale,
L'orgue gémit, l'autel tressaille de ce bruit ;
Le pilier le répète en sa cavité sombre ;
La voûte le redit, et s'agite dans l'ombre...
Puis tout s'éteint, tout meurt, et retombe en la nuit !
j'espère que cela t'aidera, bon courage et soirée :-) Séverine
Merci d'avoir visité notre site, qui traite de Français. Nous espérons que les informations partagées vous ont été utiles. N'hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions ou besoin d'assistance. À très bientôt, et pensez à ajouter notre site à vos favoris !