Réponse :
J’ai tant pleuré toutes les larmes de mon corps
Il m’a quittée sans une vague de malheur
Or on voguait et dérivait en bon accord
Qu’il pleuve ou pas, sous une ondée de plein bonheur.
Je nageai dans le bonheur, l’eau était profonde
Inconsciente de la noyade fatale
Me voir ? il n’avait plus une seule seconde
Hélas, comment ignorer la phase finale.
C'était ce jour-là, ce jour déchirant deux êtres
Me Déchirant, le soulageant, nous séparant
Et il disparaissait dans une pluie battante
C’est clair comme du cristal ou de l’eau de roche
A coup sûr, ce n’était pas mon âme sœur et
Un dur baptême du feu, adieu anicroche
Explications :
Tout sur la terre hérissé, la ronce
piqué et le fil vert
grignoté, le pétale est tombé, tombant
jusqu'à ce que la seule fleur soit la chute elle-même.
L'eau est une autre affaire,
n'a pas de direction mais sa propre grâce lumineuse,
traverse toutes les couleurs imaginables,
prend des leçons limpides
de pierre,
et dans ces fonctionnements se joue
les ambitions non réalisées de la mousse.
et en voilà un autre
Le puits était sec à côté de la porte,
Et donc nous sommes allés avec un seau et pouvons
À travers les champs derrière la maison
Chercher le ruisseau s'il coulait encore;
Pas la peine d'avoir une excuse pour aller,
Parce que la veille d'automne était juste
(Bien que froid), parce que les champs étaient à nous,
Et près du ruisseau, nos bois étaient là.
Nous avons couru comme pour rencontrer la lune
Qui se leva lentement derrière les arbres,
Les rameaux stériles sans feuilles,
Sans les oiseaux, sans la brise.
est ce n'est pas collé
;(