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Bilan : rédigez un texte organisé montrant que les Allemands et les Soviétiques se sont engagés lors
de la bataille de Stalingrad dans une mobilisation totale.
(Pour bien organiser votre texte, veillez à décrire la violence des combats puis le rôle de la
ropagande dans la mobilisation des populations et la victoire soviétique.)


Répondre :

Bonjour,

Réponse :

Raisons de la bataille :

1. Premièrement, durant l'hiver 1941-1942, la résistance des Soviétiques avaient bloqué l'armée allemande devant Leningrad, Moscou et le fleuve Don. Hitler a donc échoué dans sa tentative pour s'emparer de Moscou, alors il lance ses armées vers la Caucase pour s'emparer des réserves pétrolières des Russes.

 2. Pour continuer le 22 juin 1941, Adolf Hitler rompt le pacte germano-soviétique en lançant une offensive sur l'URSS. Il se dit que, après une année de succès, il pourrait conquérir n'importe quelle ville donc il lance une attaque en juin 1942 sur Stalingrad, auquel les Allemandes butent contre la résistance acharnée des soldats et des partisans soviétiques.

  3. Ensuite, Hitler veut s’emparer de la ville (située entre le Caucase et le reste de l’URSS, traversée par le fleuve Volga) car c’est le premier centre industriel soviétique et c’est un centre de communication important entre les réserves de pétrole du Caucase et le reste de l’Union soviétique. Cela permettra à Hitler de perturber fortement les communications et l’approvisionnement en carburant et en matériel des Soviétiques. Cela lui assurera la progression de la Wehrmacht vers le Caucase.

 4. Puis, elle comptait de nombreuses usines d’armements (notamment des fabriques de chars) et de grands établissements métallurgiques. Si l’Allemagne nazie parvenaient à contrôler la ville, elle pourrait se ravitailler afin d'acquérir plus de ressources pour la guerre.  5. Enfin, son nom même est un véritable symbole dont Hitler veut s’emparer. C'était la ville de Staline, le symbole de la puissance de l’Union soviétique. S’en emparer, c'était de contrôler le verrou de la porte des champs pétrolifères caucasiens, mais surtout porter un rude coup au moral de l’ennemi.