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Un jour, il m'apprit que je serais désormais son élève. Il avait déjà emprunté à l'officier des sports une de ses clés de la salle où se trouvait le ring.
Il allait me former et m'entraîner sérieusement. Et dans deux ou trois ans, s'il apparaissait que j'étais doué, il me présenterait au championnat d'Académie.
Je lui dis ma joie, lui exprimais ma gratitude, lui promis d'être un élève digne de lui.
