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Bonjour,
J'ai un développement construit à faire sur Berlin, pourriez-vous m'aidez s'il-vous-plaît ?Voici la consigne : montrez, dans un développement construit d'une vingtaines de lignes, que Berlin a été l’un des théâtres de la Guerre froide entre 1948 et 1989.


Répondre :

Durant la guerre froide l'Allemagne est divisé en 4 zone une zone soviétique française américaine Berlin la capitale et occupé par les soviétiques il y a Berlin est et ouest la rfa république fédérale d'Allemagne et la rda républicaine démocratique d'Allemagne qui est dirigée par les communiste il y a eu le blocus de Berlin ce qui a fait que que la partie de Berlin occupé par les américains nes plus ravitailler car les soviétiques on fait un blocus heureusement pour les américains il on mis en place un pont aérien se qui leur a permis de se ravitailler en nourriture ect face a la détermination des américains Staline leve le blocus et en 1961 le mur de Berlin va être construit en une nuit il va séparer Berlin ouest de Berlin est les habitants vivants du coter soviétiques vont devoir se plier a la dictature imposer par Staline sous peine d'être emprisonnés

J'espère tavoire aider bonne journée

Réponse :En 1948, la France, les USA et la Grande-Bretagne proposent la création d’un Etat fédéral allemand dans leurs zones d’occupation. Cette proposition suscite une réaction violente de l’URSS qui décide le Blocus de Berlin. Enclavée dans la zone soviétique, Berlin ne peut plus être ravitaillée ni par la route ni par le chemin de fer. Il s’agit ainsi pour les soviétiques d’affamer les habitants pour mettre en échec la reconstitution d’un Etat allemand dans les zones occupées par les troupes françaises, britanniques et américaines.

Pour nourrir les habitants de Berlin, il ne reste que la voie aérienne. Un véritable pont aérien est mis en place par les USA pour le ravitaillement. Toutes les deux minutes pendant la journée, un avion ravitailleur se pose à l’aéroport de Berlin-Ouest.

Les soviétiques ne parviennent donc pas à affamer la population de Berlin et le Blocus s’arrête en mai 1949.

La partition de l'Allemagne est actée :

création de la République Fédérale Allemande (RFA), le 23 mai 1949, avec pour capitale Bonn.

création de la République Démocratique Allemande (RDA), le 7 octobre 1949, avec pour capitale Berlin-Est.

La construction du mur

Le relèvement économique rapide de la RFA face à une RDA ruinée et mise au service de la puissance soviétique amène le développement d'une émigration forte de l'Est vers l'Ouest. En 1953, des émeutes ouvrières éclatent à Berlin, Leipzig et dans toute l'Allemagne.

Afin d'enrayer la forte émigration qui se poursuit vers la RFA, en passant par Berlin, la RDA décide, en 1961, de construire un mur séparant la zone soviétique de Berlin des trois autres zones. La RDA développe également une très forte police politique à l'image du KGB soviétique : la STASI qui surveille et fiche de nombreux citoyens.

Le mur devient le symbole de l'enfermement des habitants à l'intérieur du système communiste. Cette privation de liberté qui indigne, « le Mur », est bien symbolisée par le discours du président américain lors de sa visite à Berlin-Ouest, le 26 juin 1963. John Fitzgerald Kennedy devant le mur de berlin scande au monde entier : « Ich bin ein berliner ! ». Il s'agit pour le président démocrate de définir ce qui constitue l'essence même du monde libre et de démontrer l'échec du communisme, malgré les atours dont celui-ci se pare. C'est donc un discours de combat, six mois après la crise des fusées de Cuba, bien que globalement, on soit entré dans une phase de « Détente » entre les deux Grands (1962-1975).

D'après Kennedy, le modèle soviétique est en faillite car les communistes ont besoin « d'ériger un mur » afin d'empêcher la fuite de leur population. Il présente le système communiste comme d'essence antidémocratique. Certains éléments peuvent lui donner raison comme l'existence en URSS d'un seul parti politique autorisé, le Parti communiste d'Union Soviétique (PCUS), soumis qui plus est, au centralisme démocratique. On peut également songer à la présence en URSS d'un système concentrationnaire, le Goulag, au sort réservé aux dissidents (assignation à résidence, hôpitaux psychiatriques), aux déportations de peuples entiers (Tchétchènes, Allemands de la Volga) qualifiés d'ennemis du peuple soviétique. Malgré la déstalinisation engagée par Nikita Khrouchtchev à partir de 1956, le système est encore très rigide si l'on songe à l'interdiction pour Boris Pasternak d'aller en 1957 recevoir son prix Nobel de littérature

Explications :