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Geai ressue mât chair l'or, lin vite à sion queue tu mâts à dresser pourras l'air dix nez rats sein ment
dés, dix manches n'oeufs sept ambre.
Croix jetant sue plie allant presse m'en deux tond couse ain as eux rang drap dèz somme ah scions
scie en gage hante.
Dix manchons nos rats don l'âge oie deux-temps bras serre, toit était-ce heure étai pas rends; ai-je
eaux ré, jean suisse hure, dupe les ire have ou art lac homme édit, eh ah ah si ce thé aux fesses teint.
Ile nia riz inde nous veau an sept lieues longe houe en corps l'aime atteint elle haie sou art os bis liard
queue jet-mouton pet raie sans est-ce vin coeur, émoi comte i nue aile ment vingt culs.
Mat hante alors dine haire à tout j'ourlais six os -elle haleine ode ou soie ; toussait faute oeils sont à
pisser pas raie le m'aime [...]
Charles FOURIER, Lettre à sa cousine Laure
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bjr

J’ai reçu, ma chère Laure, l’invitation que tu m’as adressée pour aller dîner à Saint-Mandé, dimanche neuf septembre.

Crois, je t’en supplie, à l’empressement de ton cousin à se rendre à des sommations si engageantes.

Dimanche on aura donc la joie de t’embrasser, toi et tes sœurs et tes parents ; et j’aurai, j’en suis sûr, du plaisir à voir la comédie et à assister au festin.

Il n’y a rien de nouveau en ces lieux, l’on joue encore les matins et les soirs au billard que j’aime, où ton père est sans cesse vainqueur et moi continuellement vaincu.

Ma tante à l’ordinaire a toujours les ciseaux et la laine aux doigts (?) ; tous ses fauteuils sont tapissés par elle-même