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Bonjour :)
1) La ville est assimilée à un monstre. La description de Paris est fondée pendant toute la description de Paris par une personnification de celle-ci :
"Paris est toujours cette monstrueuse créature", "le monstre mange" , "Paris est le plus délicieux des monstres".
2) a) Il s'agit d'une oxymore entre "monstre" et "délicieux". Un monstre est censé dégoûté réellement.
b) " Paris est toujours cette monstrueuse merveille". Ici "monstrueuse" s'oppose à "merveille" mais il y a toujours ce rapprochement.
c) Balzac est fasciné mais il est craintif par rapport à Paris. Il veut produire une image assez mitigée de Paris.
3) Le paysage urbain et les humains s’échangent au point que chaque immeuble est un corps (les greniers sont la " tête ", les premiers étages les " estomacs heureux " et les boutiques " les pieds ").
4) Il porte un regard mitigé. Il est admiré par cette ville car c'est une capitale. Mais il est craintif et sait que cette ville peut-être dangereuse. Il utilise des mots variés: parfois mélioratifs et parfois tout le contraire. "moeurs fantastiques", "rugit", "monstre", "jolie"...
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