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Réponse :
1. Pourquoi peut-on dire que ce texte est autobiographique ? justifiez
L’auteur, Colette, raconte sa propre vie. Elle est l’auteur, le narrateur et le personnage principal à la fois. Le point de vue est interne, elle raconte ses souvenirs, ce qu’elle a vécu. Et le récit est à la première personne du singulier.
(tu n’as plu qu’à mettre des exemples)
2. A-Quels sont les sujets des verbes « se réfugiaient » (l3), « dormait » (l5) et « baignait » (l7) et quelle est la figure de style employée ?
- Se réfugiaient : sujet « les terres maraîchères »
- Dormait : sujet « tout »
- Baignait : sujet « le brouillard »
- Figure de style : la personnification
B. B- A quel temps de l’indicatif ces temps sont-ils employés et quelle est leur
valeur ?
Le temps est l’imparfait de l’indicatif, la valeur est une valeur de description du décor, de l’atmosphère.
3. Dans les lignes 16 à 20 relevez deux figures de style que vous nommerez.
« L’autre source,
presqu’invisible, froissait l’herbe comme un serpent, s’étalait secrète au centre d’un pré
où les narcisses, fleuries en ronde, attestaient seules de sa présence. La première avait
un goût de feuille de chêne, la seconde de fer et de tige de jacinthe.... »
- Personnification de la source, et la comparaison au serpent
4. En vous appuyant sur vos réponses précédentes (elles vous donnent les
justifications !) dites quel rapport la narratrice entretient-elle avec son environnement ?
La narratrice ne fait qu’un avec la nature, son environnement. Elle voit cette nature comme une personne, l’apprécie.
5. « cette grâce indicible » comment est formé l’adjectif indicible ? Pourquoi la narratrice
l’emploie-t-elle ?
- préfixe in-, qui marque l'absence ou la privation de quelque chose Le radical, la base est -dic-, qui vient du mot "dire".
Le suffixe -ible caractérise la capacité de quelque chose
On a un préfixe signifiant la privation et un suffixe de capacité. Ce mot signifie donc une incapacité. Cela veut dire que c'est l'incapacité pour quelque chose d'être dit
6. Relevez deux propositions subordonnées relatives introduites par deux pronoms relatifs différents.
- « je m’en allais, un panier vide à chaque bras, vers les terres maraîchères qui se réfugiaient dans le pli étroit de la rivière, vers les fraises, les cassis, et les groseilles barbues. » Qui : sujet du verbe se réfugiaient
- « et que j’emporte avec moi, cette gorgée imaginaire »
JE NE VOIS PAS LA PROPOSITION ENTRE CROCHET
7 . A quelle type de souvenir particulier est associée la dernière phrase ?
C’est pour elle un moyen de tout emporter avec elle au moment de partir, peut-être de mourir ; ce souvenir restera gravé dans sa mémoire, avec les saveurs.
8. Quelle est la valeur du présent de l’indicatif dans cette phrase
Il s’agit du présent de narration
9. Quelle est la visée (le but) de ce texte autobiographique ?
La visée de ce texte autobiographique est de nous faire partager les ressentis de l’auteur, de nous parler de son enfance heureuse à la campagne, où tout était paisible, fragile aussi.
10. Quelle correspondance des sensations pouvez-vous établir entre le tableau et le texte ? Ce tableau pourrait bien illustrer ce texte. On y retrouve la nature, paisible, les fleurs. On peut s’imaginer les senteurs, la jeune fille pourrait être l’auteur cueillant des fleurs dans un milieu qu’elle affectionne pour son calme, qui lui rappelle son enfance (complète encore si tu veux)
Voilà il faut que je parte je te laisse terminer… faire l’expression écrite
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