Répondre :
Réponse :
L'été était magnifique et pour trouver un peu de fraîcheur, j'avais décidé de faire une promenade en vélo dans la forêt voisine. Je connaissais mal les lieux mais on m'avait dit que des sentiers balisés proposaient des parcours du plus facile au plus difficile. J'avais sans doute surestimé mes forces et mon endurance. Toujours est-il que vers le milieu de l'après midi, j'avais l'impression d'avoir perdu mes repères et d'être assez éloigné de mon point de départ. Comment trouver une indication quand les arbres de plus en plus hauts et de plus en plus touffus laissaient passer une lumière sombre et qu'au sol, je trouvais les feuilles bien humides ? Je mis pied à terre. Le froid commençait à me gagner. Curieusement, j'avais l'impression d'entendre des cris d'oiseaux inquiets. Je le devenais aussi. des bruits de buissons froissés, des piétinements m'alertèrent. Et devant moi, sans que j'aie le temps de m'écarter, un sanglier et ses petits qui fonçaient vers je ne sais quelle destination. Je l'avais échappé belle. Je sortis le sifflet qui ne me quittait jamais. Un autre répondit, se rapprocha. Deux chasseurs débouchèrent sur ma droite et voyant mon air apeuré me rassurèrent et me sortirent bien vite au grand air et en dehors de la forêt.
Explications :
Bonjour !
J'avais pour habitude de m'entraîner dans la forêt jouxtant la ferme de mes grands parents sise en dehors du village. Un jour, tôt le matin, la gourde d'eau en bandoulière, je m'engageaïs en petite foulée dans ma "petite prairie". C'était comme ça que j'appelais la forêt vierge qui servait d'espace à mes entraînements habituels. Après un léger footing d' une heure, j'éprouvais le désir de me désaltérer. C'est ce que je fis et profitai en même temps de m'allonger un laps de temps pour m'en remettre de mes efforts. Je m'étais donc bien installé dans endroit bien ombrageux et paisible quand soudain je fus reveillé par une stridente détonation. Je me levai donc en sursaut et abasourdi. Et à grande ma surprise, je me trouvais face à un loup gris tout ruisselant de sueur et haletant . Il était exténué et ne savait quelle direction en prendre pour échapper à ses poursuivants que je supposais êtres des chasseurs. Pris de panique, je me voyais déjà dans la gueule du loup . Tout en moi tremblait, j'étais transi de peur, Je ne savais pas comment la gourde d'eau me tomba des mains et éclaboussa le loup. Tout en grognant, il se jeta sur la gourde d'eau et ... À toi d'imaginer la suite..
Bon courage.
Merci d'avoir visité notre site, qui traite de Français. Nous espérons que les informations partagées vous ont été utiles. N'hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions ou besoin d'assistance. À très bientôt, et pensez à ajouter notre site à vos favoris !