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Bonjour c'est la 4ème fois je poste mon devoir il y'a vraiment personne pour m'aide s'il vous plait j'aurais besoin d'aide je vous ai poster l'objectif jsute en dessous.
OBJECTIFS : écrire un début de récit, étrange et inquiétant, propice au surgissement du fantastique.
Vous avez croisé au détour d'une rue une personne que vous n'avez pas vue depuis des années.
Elle vous a semblé étrange. Racontez votre rencontre.
Votre texte comportera au moins dix phrases, des moments de dialogue et de récit. Essayez de
réutiliser la méthode de l'expression du doute pour rendre le narrateur/les personnages plus
intéressants.
Respect du sujet et de ses contraintes / 3
Correction grammaticale et orthographique / 3
Emploi du pronom « je » (narrateur/personnage) / 1
Cadre spatio-temporel réaliste / 1
Emploi temps du récit / 1
Usage outils doute / 1


Répondre :

Bonsoir, voici une suggestion :

Je sais que vous ne me croirez jamais, et pourtant... Pourtant, il faut absolument que je vous raconte ce qui m’est arrivé avant-hier soir ! Vous allez probablement me croire ivre, ou complètement fou... mais je vous assure que non, j’ai toute ma raison... enfin, je crois... en tout cas, je vous souhaite de ne jamais vivre pareille mésaventure !

J’étais sorti m’acheter une baguette de pain. Le ciel avait une couleur crépusculaire étrange, et un vent froid désagréable me transperça malgré mon blouson de cuir. Je hâtai le pas. Soudain, à l’intersection de la rue, je heurtai un passant, pressé également. Je marmonnai de vagues excuses, lorsque soudain, je le reconnus ! Franck, mon meilleur copain du collège puis du lycée, que j’avais perdu de vue lors de mes études ! Il était là, face à moi !

- Franck ?! Ça alors, mon vieux pote, c’est bien toi ? Qu’est-ce que tu fais là ?

Franck - car c’était bien lui - me regarda droit dans les yeux. L’espace d’un instant, ses yeux verts devinrent phosphorescents et eurent une expression de joie mauvaise. Mon sang se figea dans les veines. Était-ce une hallucination, ou... ? J’aurais juré que...

Un sourire malsain se dessina sur son visage. Je tremblais. Il me tendit sa main, je la serrai machinalement, et le regrettai aussitôt : sa poignée de main était de glace, et j’eus le pressentiment que je venais de serrer la main de la Mort elle-même.

- Ce que je fais là... ? ricana-t-il. Tu n’as pas encore compris ? Je viens chercher ton âme...
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