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Bonsoir,
Je dois écrire une courte synthèse sur la nouvelle de Romain Gary "Je parle de l'héroïsme"
Pour ceux qui ne connaissent pas cette nouvelle voilà un petit résumé :
Dans cette nouvelle, un conférencier proclamant que le danger, le courage, et l’esprit de sacrifice n’ont aucun secret pour lui est invité à Haïti pour parler de l’héroïsme. Sur son estrade, on sentait dans ses paroles une grande expérience personnelle du sujet. Mais lorsqu’un certain Docteur Bonbon lui proposa d’aller chasser des requins près d’un récif de corail, la pratique eu raison de la théorie. En effet, l’homme affirmant que l’héroïsme n’avait aucun secret pour lui était pétrifié par la peur à l’idée de chasser des requins. C’est ce qui prouve que son comportement est ridicule.
Après être sorti des mers des Caraïbes en un seul morceau, il apprit que les requins ne traversaient pas les récifs.

Il faut dire ce qui est critiqué et comment.
Tel est mon problème je ne sais pas comment on appelle le comportement de quelqu'un qui a des paroles vides.
Merci d'avance :)


Répondre :

Bonjour, Romain Gary critique les beaux parleurs incapables d’agir réellement, et plus précisément les lâches qui passent pour des héros - en démontrant qu’en paroles ils peuvent donner le change, mais que sur le terrain ils sont des moins que rien.
C’est un comportement de matamore qui est ici critiqué ; celui du vantard qui roule des mécaniques, mais s’enfuit au premier danger venu.
Bonne journée !