Réponse:
En 1857, il écrit dans l'esquisse d'un poème : « J'ai pétri de la boue et j'en ai fait de l'or » (« Orgueil », Les Fleurs du Mal).
Puis, dans un projet d'épilogue pour la deuxième édition du recueil Les Fleurs du Mal en 1861, le poète s'adresse ainsi à Paris : « Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait de l'or ».