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Pourrez-vous m'aider à améliorer ma rédaction, on lui corrigeant les fautes d'orthographes et de grammaires (temps du récit) et lui faire des modifications si ces nécessaires SVP merci d'avance ♥♥♥ !
Sujet :C’est l’histoire d’une dame riche qui a un enfant de 10 mois. Celle-ci doit se rendre chez sa cousine à par l'autre bout de la ville mais la nourrice de l’enfant est souffrante. Donc la garde de l’enfant sera assurée par ses deux servantes, qui vont avoir du mal, jusqu’à mettre l’enfant à la mort. Mais en réalité tout cela était un cauchemar.

Une nuit agitée


-Acte n°1 -
C’était la matinée, tandis que nos deux servantes s’occupèrent des tâches ingrates à besogner , comme dans leur quotidien. La patronne en revanche, se préparait, pour se rendre chez sa cousine à l’autre bout de Paris. Malheureusement, la nurse du marmot était souffrante. Ce fut après cet évènement tragique, qu’elle annonça à ses servantes, la nouvelle en s’assurant de sa par celles-ci. Enfin prête à partir, Mme D’Alambier fit ses adieux en sortant, puis ferma la porte. Après son départ, Solange et Jeanne se mirent à chercher une solution. Plus tard, Elles se divisèrent les rôles, Jeanne devînt la nounou, en laissant Solange aux corvées.

-Acte n°2-
Dès le réveil, Monsieur, s’avère larmoyant, par la faim. C’est en entendant ses hurlements, que Jeanne pressa le pas en lui apportant une bouillie de fruits. Pendant ce temps, leur patronne s’amusait en discutant de tout et de rien, avec sa cousine avec chacune, une tasse de thé et des pâtisseries à porter de main. À la maison, les deux domestiques s’occupaient, l’une dans la cuisine et l’autre au salon, durant que le marmot jouait dans son lit. Des heures s’écoulaient dans le silence, un repos pour les deux jeunes femmes. Cependant, Jeanne s'inquiéta de la situation, en effet ,en allant dans la chambre, elle découvrît, le décès de l’enfant étouffé par la cuillère oubliée lors de sa bouillie, de sa nonchalance. Aux yeux de nos deux domestiques, ce terrible meurtre, ne devait pas se révéler, avec aucune attente, un stratagème fut mis en place. À l’arrivée de notre chère Mme D’Alambier, Solange et Jeanne faisaient la vaisselle toutes souriantes, dans la transparence des faits. Stupéfaite du travail, des domestiques et du calme, leur patronne s’asseyait dans le canapé, est commença à leurs poser des questions sur la journée en gardant le marmot :
« Mme D’Alambier : « Solange ! Jeanne ! Avez-vous passé une belle journée avec mon enfant ?
- Solange : Ah…moi... bien, c’était parfait !
- Mme D’Alambier : Et vous, Jeanne ?
- Jeanne : Oui, oui ! Madame. C’était super ! Monsieur est entrain de dormir...
- Mme D’Alembier : Quel travail remarquable ! Vous étiez parfaites, je vous félicite ».

- Acte n°3 -
En allant au grenier, Mme d’Alambier devint si livide en voyant la dépouille de son enfant chéri, qu’elle ne put s’empêcher de crier :
« Mme D’Alembier, vociférant en larmes : Vous êtes des monstres !
- Jeanne : Que vous arrive-t-il Mme ?
- Mme D’Alambier, vociférant en larmes : Vous me cachez la mort de mon enfant ! Avec le sourire aux lèvres !
- Jeanne et Solange, avec un ton moqueur et provocateur : C’est fort de café votre comportement ! »

Mme D’Alambier choquait par ces mots s’évanouit mais soudain une voix lui résonna à l’oreille : « Jean : Mme réveillez-vous, vous allez être en retard pour la rencontre avec votre cousine ! »


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Bonjour

Sujet : C’est l’histoire d’une dame riche qui a un enfant de 10 mois. Celle-ci doit se rendre chez sa cousine à l'autre bout de la ville mais la nourrice de l’enfant est souffrante. Donc la garde de l’enfant sera assurée par ses deux servantes, qui vont avoir du mal, jusqu’à mettre l’enfant à mort. Mais en réalité tout cela était un cauchemar.

Une nuit agitée

-Acte n°1 -

C’était le matin, tandis que nos deux servantes s’occupaient des tâches ingrates à besogner , comme au quotidien. La patronne en revanche, se préparait, pour se rendre chez sa cousine à l’autre bout de Paris. Malheureusement, la nurse du marmot était souffrante. Ce fut après cet évènement tragique, qu’elle annonça à ses servantes la nouvelle, en s’assurant de cela par celles-ci. Enfin prête à partir, Mme D’Alambier fit ses adieux en sortant, puis ferma la porte. Après son départ, Solange et Jeanne se mirent à chercher une solution. Plus tard, Elles se divisèrent les rôles, Jeanne devînt la nounou, en laissant Solange aux corvées.

-Acte n°2-

Dès le réveil, Monsieur, s’avère larmoyant, par la faim. C’est en entendant ses hurlements, que Jeanne pressa le pas en lui apportant une bouillie de fruits. Pendant ce temps, leur patronne s’amusait en discutant de tout et de rien, avec sa cousine, chacune une tasse de thé et des pâtisseries à portée de main. À la maison, les deux domestiques s’occupaient, l’une dans la cuisine et l’autre au salon, pendant que le marmot jouait dans son lit. Des heures s’écoulaient dans le silence, un repos pour les deux jeunes femmes. Cependant, Jeanne s'inquiéta de la situation, en effet ,en allant dans la chambre, elle découvrit le décès de l’enfant étouffé par la cuillère oubliée lors de sa bouillie, par sa nonchalance. Aux yeux de nos deux domestiques, ce terrible meurtre, n'aurait pas du être révélé, alors elle mit un stratagème en place. À l’arrivée de notre chère Mme D’Alambier, Solange et Jeanne faisaient la vaisselle toutes souriantes, dans la transparence des faits. Stupéfaite du travail des domestiques et du calme, leur patronne s’asseya dans le canapé, et commença à leur poser des questions sur la journée en gardant le marmot :

« Mme D’Alambier : « Solange ! Jeanne ! Avez-vous passé une belle journée avec mon enfant ?

- Solange : Ah…moi... bien, c’était parfait !

- Mme D’Alambier : Et vous, Jeanne ?

- Jeanne : Oui, oui ! Madame. C’était super ! Monsieur est entrain de dormir...

- Mme D’Alembier : Quel travail remarquable ! Vous étiez parfaites, je vous félicite ».

- Acte n°3 -

En allant au grenier, Mme d’Alambier devint si livide en voyant la dépouille de son enfant chéri, qu’elle ne put s’empêcher de crier :

« Mme D’Alambier, vociférant en larmes : Vous êtes des monstres !

- Jeanne : Que vous arrive-t-il Mme ?

- Mme D’Alambier, vociférant en larmes : Vous me cachez la mort de mon enfant ! Avec le sourire aux lèvres !

- Jeanne et Solange, avec un ton moqueur et provocateur : C’est fort de café votre comportement ! »

Mme D’Alambier choquée par ces mots s’évanouit mais soudain une voix lui résonna à l’oreille : « Jean : Mme réveillez-vous, vous allez être en retard pour la rencontre avec votre cousine ! »

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