"J'ai souvenance qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense quelque diable aussi ne poussant, je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. Il faut adapter ce texte dans le langage d'aujourd'hui sans etre vulgaire svp.
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