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Bonjour est ce que vous pouvez m’aidez pour cette exo svp

I.
Réécrivez les adjectifs entre parenthèses en les accordant comme il convient.
Dans la pièce (obscur).....
et (poussiéreux).
s'alignaient de (vieil).........
coffres (clouté).........
cuir. Ils paraissaient (centenaire).............
Ils débordaient d'habits
(démodé)........
qui semblaient (épargné)..........
..... des
atteintes (cruel)...
du temps. Dans des cartons s'entassaient des livres
(relié).....
et des photographies jauni)...
des journaux
(ancien)...
Au plafond, on avait suspendu une fouine
(empaillé)....
(impressionnant).......
avec
gueule (ouvert)...
et ses dents (acéré).....
C'était un
cadeau d'une aïeule (original)...
Quand ma tante montait dans les combles, rien au monde n'eût pu l'en tirer. Elle s'y enfermait,
(seul).......
n'avions pas le droit de la rejoindre...
(Déçu).....
nous la regardions monter doucement les marches (raide)
........et (vermoulu).........
de l'escalier de bois.
Juste avant d'ouvrir la porte, elle se retournait et, (intransigeant)..
intimait
(hautain).....
l'interdiction
(formel)....
de la suivre. Mais la tentation de pénétrer dans cette pièce
devenait chaque
(sacré).
jour de plus en plus
(vif)......
du mois de juillet, alors
Martine
que
C'est là qu'un matin
était
(absent)........
...., l'envie (audacieux).......
nous prit
...... en tête :
d'enfreindre l'interdiction. Nous n'avions plus qu'une idée (fou)...
de cette pièce
découvrir les trésors si bien (gardé)...
(secret).....
et
nous
.*****
nous
tante
Si vous estimez que rien ne


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Bonjour

Réécrivez les adjectifs entre parenthèses en les accordant comme il convient.

Dans la pièce obscure et poussiéreuse, s'alignaient de vieux coffres cloutés en cuir. Ils paraissaient centenaires. Ils débordaient d'habits  démodés qui semblaient épargnés des  atteintes cruelles du temps. Dans des cartons s'entassaient des livres  reliés et des photographies jaunies, des journaux

anciens.

Au plafond, on avait suspendu une fouine empaillée impressionnante avec la gueule ouverte et ses dents acérées. C'était un  cadeau d'une aïeule originale. Quand ma tante montait dans les combles, rien au monde n'eût pu l'en tirer. Elle s'y enfermait,  seule, n'avions pas le droit de la rejoindre.

Déçus, nous la regardions monter doucement les marches raides et vermoulues de l'escalier de bois.

Juste avant d'ouvrir la porte, elle se retournait et, intransigeante, intimait

hautaine,  l'interdiction  formelle de la suivre. Mais la tentation de pénétrer dans cette pièce  devenait chaque  jour de plus en plus  sacrée

La fin est incompréhensible

(vif)......

du mois de juillet, alors

Martine

que

C'est là qu'un matin

était

(absent)........

...., l'envie (audacieux).......

nous prit

...... en tête :

d'enfreindre l'interdiction. Nous n'avions plus qu'une idée (fou)...

de cette pièce

découvrir les trésors si bien (gardé)...

(secret).....

et

nous

.*****

nous

tante

Si vous estimez que rien ne

Obscure poussiéreuse
Vieux cloutés en
Centenaires
Démodés
Épargnés
Cruelles
Reliés jaunies
Anciens
Empaillée impressionnante ouverte
Acérées originale seule
Déçu raides vermoulues
Intransigeante hautaine formelle sacrée
Vif
Absente audacieuse
Folle
Gardés secrets