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BONJOUR
Réponse :
1. Comment comprends tu l'expression "vie intérieure" ligne 20 ?
Georges Sand emploi l'expression "vie intérieure" car c'est la part de nous-même que les autres ne voient pas, c'est à dire la "vie de l'âme", ce que l'on ressent : les sentiments, les pensées, les émotions.
2. Selon G. Sand, qu'est ce qui fait de l'écriture de soi un travail "pénible" ? un "devoir" ?
Ecrire sur soi est "pénible" pour Georges Sand car ce n'est pas facile de parler de soi tout en disant la vérité qui font ressortir des moments très douloureux. Mais c'est aussi un "devoir" pour l'auteure car cela permet de mieux se connaître et de mieux se comprendre.
Relève le champ lexical qui exprime cette difficulté.
Le champ lexical de la difficulté : "malaisé", "assez pénible", "étude fastidieuse".
3) En quoi le travail d'écriture engage-t-il "les autres" ?
Car les autres peuvent avoir vécu ce qu'a vécu l'auteure.
4. Quels arguments G. Sand avance-t-elle pour justifier l'utilité de l'écriture autobiographique ?
- écrire des souvenirs que l'autre peut comprendre
- écrire ses pensées ("vie intérieure") en disant la vérité
- donner un "enseignement" à l'autre
5. De quelles qualités un bon autobiographe doit-il faire preuve selon G. Sand ?
Une autobiographie doit être "sincère", "sérieuse" pour G. Sand qui doit guider les autres.
6.
a. Qui G. Sand désigne-t-elle dans l'expression "celui raconte" et "celui qui écoute" ?
"Celui qui raconte" est l'auteur et "celui qui écoute" est le lecteur. Comme si le lecteur était le confident de l'auteur.
b. Quel rapport faut-il établir avec son lecteur de l'autobiographie et pourquoi ?
Un rapport "de confiance et de sympathie" = pacte autobiographique
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