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Bonjour,

Pouvez-vous m'aider a répondre aux questions ci-après à l'aide du poème?

Poème :

À UNE PASSANTE

La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse,
Une femme passa, d'une main fastueuse
Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ;

Agile et noble, avec sa jambe de statue.
Moi, je buvais, crispé comme un extravagant,
Dans son œil, ciel livide où germe l'ouragan,
La douceur qui fascine et le plaisir qui tue.

Un éclair... puis la nuit ! — Fugitive beauté
Dont le regard m'a fait soudainement renaître,
Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ?

Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être !
Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais,
Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !

Questions :

1. Quel changement remarquez-vous dans la ponctuation?
2. Relevez le vocabulaire qui se rapporte à la souffrance et à la mort.
3. Quelle assonance est présente au vers 9? À quel sentiment peut-on l'associer?
4. Quelle comparaison le poète utilise-t-il pour se décrire? Que révèle-t-elle?
5. Expliquez la métaphore du vers 7-8.

Merci d'avance pour vos réponses


Répondre :

Réponse:

Question 1 : On peut remarquer que les phrases sont calmes au début puis plus énergique (on peut le voir grâce à la ponctuation)

Question 2 : Hurlait, douleur, livide, feston

Question 3 : Je ne connais pas les assonances, par contre on peut l'associer à la mort, l'éclair symbolise la vie et la nuit la mort, comme si la vie le quittait très rapidement

Question 4 : Peut être que quelqu'un d'autre pourras t'aider

Question 5 : La métaphore explique la vie quittant le poète, comme un flash (l'éclair)

Explications:

En espérant t'avoir aidé ^^