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La veuve se montre, attifée de son bonnet de tulle sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis, elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte, grassouillette, ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d'église, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur. Sa figure fraîche comme une première gelée d'automne, ses yeux ridés, enfin tout sa personne qui explique la pension, comme la pension implique sans personne.
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