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Le fourreau de mon épée me démangeait. J’avais hâte de pouvoir déferler ma fureur sur ce vaurien de Camedieu. Et surtout, que de plus beau que de pouvoir conquérir, enfin, la femme que j’aimais_vous ! Rien que pour vos beaux yeux, j’aurai pu combattre 100 hommes à moi tout seul. La flamme de l’amour me portait sur ses ailes, fier et brave, me donnant le sentiment que rien ne pouvait m’arriver. C’est dans cet état d’esprit là que je me suis élancée vers celui qui allait bientôt me supplier de le laisser en vie. J’ai tiré mon épée de son fourreau, avec en face de moi le visage fier de mon adversaire. Il croyait pouvoir me battre, moi, Perceval ? J’allais lui montrer que je ne laisserais rien m’enlever ma douce dame ! Je me suis alors mis à me battre comme je ne l’avais jamais fait, avec cette fureur controlée que tout combattant aguerri doit maîtriser. Tout tournoyait autour de moi, et ce à une vitesse folle. J‘ai rapidement pris le dessus, et le premier sang a giclé. Ce n’était cependant pas le mien. Camedieu a bientôt été à terre devant moi, et en cela il perdait tout du vaillant guerrier qu’il était. Mais comme vous le savez, je suis d’une grande bonté. En le voyant ainsi agenouillé, j’ai eu pitié de lui. C’est pour cela que je l’ai gracié, en lui offrant une vie qu’il ne méritait pas. Mais j’ai finalement obtenu votre amour, et cela vaut plus que tout l’or du monde ! Voici le récit de mon combat, ma douce, et je ne regrette rien de ce que j’ai pu accomplir.
Voilà j’éspère que c’était ça qu’il fallait faire ! J’ai fait de mon mieux mais c’est pas ouf je trouve. Tu peux arranger un peu ! :)
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