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Bonjour
Explications :
Assis sur un petit tabouret et bavant d’attention, je peinturlurais des empeignes et des tiges, des quartiers et des baguettes.
La besogne n’était pas pénible, mais elle était très minutieuse. Il s’agissait de noircir la tranche de la peau, une fois qu’elle était cousue et découpée, et cela sans tacher les doublures. Je noircissais assez proprement, si bien que ma mère me confia bientôt les tâches plus délicates, comme de découper les doublures. J’avais encore la charge du ménage, lavais la vaisselle, récurais les casseroles, pelais les pommes de terre, taillais la soupe, cependant que ma mère à sa machine piquait, piquait, comme une nonne dit un rosaire. (Il fallait bien comme elle disait, que je prisse le goût du travail et elle ajoutait qu’on ne le prend jamais assez tôt). Il est vrai que j’allais à l’école, et c’était une sorte de libération.
Il n'y a qu'un sujet inversé ...
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