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svp j'ai un devoir qui dit Imaginez une suite au texte
Voici le texte
Lucien était douillettement recroquevillé sur lui-même. C’était sa position favorite. Il ne s’était jamais senti aussi détendu, heureux de vivre. Son corps était au repos, léger, presque aérien. Il se sentait flotter. Pourtant il n’avait absorbé aucune drogue pour accéder à cette sorte de béatitude. Lucien était calme et serein naturellement ; bien dans sa peau, comme on dit. Un bonheur égoïste, somme toute.La nuit même, le malheureux fut réveillé par des douleurs épouvantables. Il était pris dans un étau1, broyé par les mâchoires féroces de quelque fléau2. Quel était ce mal qui lui fondait dessus ? Et pourquoi sur lui plutôt que sur un autre ? Quelle punition lui était donc infligée ? « C’est la fin », se dit-il. Il s’abandonna à la souffrance en fermant les yeux, incapable de résister à ce flot qui le submergeait, l’entraînant loin des rivages familiers. Il n’avait plus la force de bouger. Un carcan3l’emprisonnait de la tête aux pieds. Il se sentait emporté vers un territoire inconnu qui l’effrayait déjà. Il crut entendre une musique abyssale. Sa résistance faiblissait.Le néant l’attirait. Un sentiment de solitude l’envahit. Il était seul dans son épreuve. Personne pour l’aider. Il devrait franchir le passage en solitaire. Pas moyen de faire autrement. « C’est la fin », se répéta-t-il. La douleur finit par être si forte qu’il faillit perdre la raison. Et puis, soudain, ce fut comme si les mains de Dieu l’écartelaient. Une lumière intense l’aveugla. Ses poumons s’embrasèrent. Il poussa un cri.En le tirant par les pieds, la sage-femme s’exclama, d’une voix tonitruante : « C’est un garçon ! ». Lucien était né.Claude BOURGEYX, Les petits outrages, éditions Le Castor astral, 1984


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voila je me suis amusé à écrire la suite car j ai étudié le texte en 3 eme et je l avai bcp aimé. mais pour les fotes chuis deso j essaye d écrire vite voilà bonne journée à toi!

l infirmière porta délicatement le nouveau né inquiète vers le docteur celui ci examina sa respiration et décida de lui faire un teste . il fut emporté loin de sa mère vers une chambre isolé et chaude . on fit s introduire des aiguilles dans sa peau . sur les bras et les pieds Lucien hurlé de plus belle . on s affolant autour de lui et le bip des machines s accélère. une mère pleurait et frié au loin . puis Lucien tranquille se’laissa aller . il enduré milles souffrance mais devidas d abandonner toutes sensations .Le bip ralentissait dangereusement mais Lucien l entendai comme la douce mélodie qu il appréciée tant dans le dos refuge qu il vient de quitter . sa vue s embrouilla plus qu elle ne l était déjà. les infermier se précipitamment dans tt les sens . Lucien resentait une douleur telle qu il ne pouvais plus rien faire .même crier . il ferma les yeux. Le silence s à bâtit sur ces oreille .Les bips qui le retenaient tant à la vie de leurs jolie mélodies s aretteairent . la douleur disparu et une obscurité aveuglante s à battue sur lui . Lucien était décédé